lundi

Un soir , un quai , une ville


C'est une note qui a vu le jour 3al-7it ,un de mes blogs préférés ,bêtement censuré.
Je 'republie' cette note en sa mémoire, et pour son 'esprit' qui habite la ta9tou9a.





Les derniers oiseaux regagnaient leurs nids sur les palmiers d'Hammamlif.



La querelle du bleu et du noir était longue . le sang coulait à flot il avait beau résister le bleu est, comme la veille, vaincu.


Le premier train est passé, le second et le troisième aussi sont passé.
Assise sur le quai, mes pieds refusaient de me porter, quelques voyous sont venus m’escorter, j’ai pris l’habitude de les côtoyer, je ne suis pas une banlieusarde pour rien.
Je les fixais dans les yeux un a un. Je les bombardais avec mon regard.




Le ciel orné par une pleine lune, avait une couleur pulpe qui virevoltai au noir.
Toutes les couleurs se sont inclinaient devant le noir, comme les vauriens se sont sauvés devant mon regard.






Bientôt le téléphone m’annoncerait que ma mère est soucieuse, elle a le caractère d’une mère omniprésente comme toute les mères.
J’ai oublié de lui téléphoner ou j'étais trop occuper à admirer le ciel, ou je me suis oublié.
Peu importe dans touts les cas je lui mentirai, j’ai le caractère d’être une indocile comme toute les fille d’une mère comme la mienne, je l’aime.






Mille pensées désordonnées dans ma tête et mille autres sur mon bloc-notes . une gouttelette d’eau tombait sur ma main elle était trop salé pour être une goutte de pluie


C’était une larme que mes yeux ont exclue, une larme sans importance qu’elle soit versée pour le nourrisson assassiné hier à Palestine ou pour l’examen d’algèbre que j’ai raté le même jour ou pour la torture que me fait subir mes tallons aiguilles quelle importance mes yeux se sont habitués à les verser, mes mains se sont habitué a les sécher ou à les ignorer : me déplorer est la preuve de mon identité.


Enfin mes pieds ont décidé de quitter la gare, je descends le tunnel, sur ma route deux déments et un S.D.F, ils voulaient quelques sous, je ne suis qu'une étudiante je n’ai pas de sous, mais j’ai une petite faim, un sandwich escalope chez ‘Lotfi’ a 4 dinars ferait l’affaire même si mon dîner attend au chaud chez moi, je peu me le permettre. L’S.D.F n’a qu’aller fouiller les poubelles, ici on a un grand cœur, on pense aux autres en jettent les ordures ……

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