vendredi

Le monologue de la girafe



L'hiver est un peu plus mélancolique, ses tempêtes secouent l'âme, son froid trouble les corps. Élixir des sens, déséquilibre des couleurs.

L'hiver est un peu plus mélancolique peut être, mais il n'est que la saison des beaux amours, des caresses et tendresses, d'une lettre si attendue pour qu'elle réchauffe un cœur refroidit par le manque dés que le moi s'accomplit dans la présence de l'autre.

L'hiver c'est quand il pleut chez moi et qu'il neige chez lui, mais il fait très chaud chez nous,
danse des saisons, mosaïque des cultures.
Tant qu'on ait le consensus pour principe, aucune raison de craindre le déterminisme.

Je m'assume.

- Agir contre sois pour qui pour quoi? pour un système qui profite au autres?
- La mosaïque de nos sens est sans renoncements.

- Aimer n'est ce pas être un sois s'accomplir sois même poussé par un autre pour? Pour? Pour rester sois?! Et qu'en est il de la marche solitaire des Zarathoustra, Gaspar Noé,...
- La marche s'accomplirai sous l'œil bien vaillante du prochain.
 Au jouissances physiques pouvoir de nous rendre plus fort...
L'amour rend peut être bête aveugle con... Peut importe..
Tant qu'il rend heureux, libre, léger... Bien... Et puis tous ce qu'on fait est au delà du bien et du mal n'est ce pas? 

Je me comprend.

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