En tête à tête avec un miroir .. se saoule seule .. le noir remplit son verre .. se sert .. seuls les murs jouissaient de ses saveurs…
Elle se faisait belle pour elle…
Se maquillait pour se démaquiller … « seuls mes couleurs me vont à merveille » … ne déposait que le khôl dessinant ses yeux en aquarelle…
Se coiffait pour se décoiffer … « il n’ y a que le vent qui sait comment j’aime me coiffer »
S’habillait pour se déshabiller … « rien ne me va mieux que ma chair »
Ne mettait qu’un parfum pour accessoire, elle sera la seule a y avoir accès ce soir …
Elle est prête … enfin en face d’elle qu’elle …
Rien qu’elle.. La lumière, intimidée qui l’éclaire
Et l’ombre qui la vénère, quelques caresses de l’air…
Rien qu’elle et un morceau de jazz, il n’y a que le jazz qui la déchaîne,
Son corps se bat, tremble de froid, s’hérisse, frémit, gémit,
S’enflamme brusquement par la chaleur des notes
Le khôl suinte de ses yeux, suis les larmes ou le tempo
Les rires obéissent aux folies du morceau
Son corps en transe
Ça parle ça danse
Ça aime en cadence
Ça baise ça caresse
Ça s’excite
S’enivre, la fièvre de la musique chavire
Ça part dans tous les sens des sens
Ça s’enflamme par la mélodie : l’essence
Ça s’envole dans les sons
Ça s’évapore dans l’affluence
Ça s’exile dans le vacarme
Silence !
Tais toi la basse, casses toi clavier menteur, voleur d’intimité violon violeur..
Silence !
Les sens vous finie l’errance, fantasmes guérissez de votre asthme
Je ne veux être qu’avec elle
J’ai soif d’elle
J’ai plus soif que ne le peut mon endurance
Je veux me rassasier.. Qu’elle revient mienne …
Sur ce elle s’endorme
Au réveils seuls mots qui raisonnent ... « je t’aime merde … je t’emmerde »
Elle se faisait belle pour elle…
Se maquillait pour se démaquiller … « seuls mes couleurs me vont à merveille » … ne déposait que le khôl dessinant ses yeux en aquarelle…
Se coiffait pour se décoiffer … « il n’ y a que le vent qui sait comment j’aime me coiffer »
S’habillait pour se déshabiller … « rien ne me va mieux que ma chair »
Ne mettait qu’un parfum pour accessoire, elle sera la seule a y avoir accès ce soir …
Elle est prête … enfin en face d’elle qu’elle …
Rien qu’elle.. La lumière, intimidée qui l’éclaire
Et l’ombre qui la vénère, quelques caresses de l’air…
Rien qu’elle et un morceau de jazz, il n’y a que le jazz qui la déchaîne,
Son corps se bat, tremble de froid, s’hérisse, frémit, gémit,
S’enflamme brusquement par la chaleur des notes
Le khôl suinte de ses yeux, suis les larmes ou le tempo
Les rires obéissent aux folies du morceau
Son corps en transe
Ça parle ça danse
Ça aime en cadence
Ça baise ça caresse
Ça s’excite
S’enivre, la fièvre de la musique chavire
Ça part dans tous les sens des sens
Ça s’enflamme par la mélodie : l’essence
Ça s’envole dans les sons
Ça s’évapore dans l’affluence
Ça s’exile dans le vacarme
Silence !
Tais toi la basse, casses toi clavier menteur, voleur d’intimité violon violeur..
Silence !
Les sens vous finie l’errance, fantasmes guérissez de votre asthme
Je ne veux être qu’avec elle
J’ai soif d’elle
J’ai plus soif que ne le peut mon endurance
Je veux me rassasier.. Qu’elle revient mienne …
Sur ce elle s’endorme
Au réveils seuls mots qui raisonnent ... « je t’aime merde … je t’emmerde »
Cette "elle" qui donne à tes articles des ailes. J'aime.
RépondreSupprimerelle est merveilleuse elle est adorable et elle sait bien comment rendre elle jalouse! Bravo bien écrit!
RépondreSupprimerTrès bien écrit Flana, quand ça sort du cœur; les mots ne savent que toucher le cœur...
RépondreSupprimerJe vous l'offre mes très chère ' Elles ' !
RépondreSupprimerSuperbe superbe superbe!!!
RépondreSupprimerREDLORD17
@ Red : Hey toi hal ghiba! :) merci mon ami!
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