Café tes yeux
Café ta peau
Ta voix café elle seule peut me réveiller
Ton odeur café m’emplisse de désir d’y goûter
Chaud me brûle les lèvres le café ton baiser
Tes mots amer sans sucre est mon café
Je bois une grande gorgée Je le laisse sur le comptoir me suppliant de boire une autre
Je refuse le souffle de la tasse me fait obéir
Je bois je bois sans le finir
Une promesse secrète de revenir un rendez-vous
Café que je ne bois pas pour rattraper le train mais le train ne passera pas
Café autour d’un jeu de belote avec les chômeurs diplômés sans parler
Dans le café du cartier
S’est refroidis ton café
Café ta peau
Ta voix café elle seule peut me réveiller
Ton odeur café m’emplisse de désir d’y goûter
Chaud me brûle les lèvres le café ton baiser
Tes mots amer sans sucre est mon café
Je bois une grande gorgée Je le laisse sur le comptoir me suppliant de boire une autre
Je refuse le souffle de la tasse me fait obéir
Je bois je bois sans le finir
Une promesse secrète de revenir un rendez-vous
Café que je ne bois pas pour rattraper le train mais le train ne passera pas
Café autour d’un jeu de belote avec les chômeurs diplômés sans parler
Dans le café du cartier
S’est refroidis ton café
parfois on a marre de se réveiller, et on préfère faire une overdose d'anxiolytique
RépondreSupprimertant qu'on a encore besoin de café, c'est qu'on tient encore à la vie
une, deux, dix tasses avec une copine nommée insomnie , ce n'est plus par besoin qu'on bois du café mais par habitude
RépondreSupprimertant qu'on a l'habitude du café, c'est qu'on a l'habitude de l'amertume de la vie.