mercredi

Le dernier des heros..

C’est l’histoire d’un héros ( un des rares qui restent) qu’on a pas raconté dans le journal de 20heure, pour respecter sa volonté (signe de sa grande modestie).

C’est l’histoire de ‘Mr. Foulan’ un homme sur de lui, haut placé dans son pays, bien attaché a ses racines.Aussi fort soufflera le vent de la mondialisation, il saura que ses fenêtres sont bleus, que son chameau bois la coke, et qu’il pourrait manger du ‘lablebi’ même après minuit.

Mr. Foulen ne se trompe jamais sur son identité, c’est une valeur qu’il a acquit dés son jeune âge, en classe terminale grâce a son professeur de philo.Et coté histoire et civilisations anciennes c’est un grand connaisseur, et comme tout bon citoyen il a un avis sur le sujet : ‘’l’histoire est dans le cœur non pas dans les vieux débris. ‘’

Intéressé (a sa manière) par les musées, l’antiquité et les déchets qu’on a oublié de jeter’ comme il disait.Grâce a ses propres moyens il a trouvé le moyen de débarrasser son pays de cette ferraille, et d’offrir à son porte monnaie quelques sous, bien mérités pour le service qu’il a rendu à son pays.

Je lui rends cet hommage et je le remercie…..

vendredi

'po fini'

Trop de mots dits pour ne rien dire, trop d’ornements pour cacher les faits, me poussent aujourd’hui à supprimer les lois de l’écrit ; ma façon de protester.

L’introduction fait défaut faute d’idées, de mots ou d’inspiration, ou peut être que je la supprime pour tout ceux qui m’ont imposé leurs consignes : ‘’Il faut présenter, introduire avant de développer ‘’, pour maudire tout protocoles, artifices et cadres qui nous manipulent.

On décore des ’ getos’ pour dire qu’on y vit ‘heureu’.

On maquis la ‘guere’, on oublie que des personnes y ‘meure’.

Le monde n’est plus qu’images : Image qu’on a le droit de modifier et truquer avant de diffuser.

Images : nos yeux sur ce monde, qui perdent leur crédibilité.

Et cette vie n’est plus qu’un bal masqué.

D’un coup sec, comme j’ai commencé, je vais finir. Je ne tire aucune conclusion, je vous laisse cette tâche.

jeudi

le berceau d'une nouvelle ère


Des médias plus préparés qu’un soldat avant la guerre.
Des chefs d’états déterminés à sauver la planète.
Et pour cause : deux petites graduations de plus sur nos thermomètres.
Et pour parler réchauffement, on a choisit le plus glacial des endroits.
Le débat est désormais ouvert :
On parle on annonce et on dénonce comme on a l’habitude de faire, on traite les conséquences : sécheresse et famine attirent soudainement de l’intérêt alors qu’ils ont étaient ignorées.
On parle de la diminution des gaz à effet de serre notamment le co2 par une démarche responsable ; et les responsables donnent l’exemple, décidés à diminuer de 40% leurs émissions en augmentant leurs déplacements en avion.
Et a Copenhague comme dans tout autre sommet, on a décidé, on a pris des mesures, on est motivées pour agir, on parle, on parle, on parle pourvue qu’ils croient qu’on va faire, qu’ils espèrent le changement, qu’ils se taisent un instant, seulement pour un instant.
Un instant, c'est le temps qu'a pris cette comédie à l'humour de mauvais gouts, dans le grand théâtre de Copenhague …
Un instant … Serait il suffisant pour sauver les prochains millénaires de notre existence ?
Copenhague serait elle le berceau d'une nouvelle ère ? … et, quelle ère ?

Quand l'insomnie s'impose....



Il pleur.

Il plaint son sort.

Il gâche sa vie.

Il laisse passer sa chance, le bonheur aussi.

Son seul allié : le désespoir.

Son meilleur ami : le fidèle dépit.

Et pour amour : qui d’autre que sa chère mélancolie.

Est ce de sa nature de préférer le malheur ?

Lui qui méprisait les faiblesses du genre humain, qui détestait la soumission.

Est-ce de son habitude de côtoyer les peines ?

Lui qui était pétillant de vie, qui gardait le sourire, mais ce dernier l’a quitté.

Et il marche, il cour, il a beau essayer de se sauver de l’abime des esprits perdus, il replonge toujours.

Il fait des souhaits, il rêve de toucher le soleil, on lui brise les ailes.

Il crie fort et haut tout est pour le mieux, mais il a les larmes aux yeux.

Il avait hais ce monde, les masques, les artifices et les mensonges.

Il était dégouté des failles et fêlures, des relations et des rapports de ceux de son genre.

Mais le voila un des leurs…

Ces principes changent comme on change de chemises, son cœur est de plus en plus insensible, il devient sadique et vicieux.

Il savoure les douleurs, il oublie le bonheur.

Ses complexes se compliquent.

Il se hait, il s’aime, il se juge, hystérique, pathétique, il dramatise tout.

Passif en l’admettant, craintif par instinct.

Il lance des rumeurs auxquelles il croie.

Il crée des mensonges, il oublie la vérité.

Il a passé la limite des opposés : d’ange perdu il est devenu le plus diabolique des démons…

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