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vendredi

I love ... HAMHAMA ... In my mind



يسرقني منك ساعات الوقت 
نخطف منو دقيقة وين نطيش المقت

 تقتلني شوارع ما فيها روح 
                             بين تراكن و زناقي نجري ونهوم 
ترجعني سقيا ليك تتبعث فيا الروح 
                                          ريحتك .. كان ريحتك ادوم




مسكين إلي عمرو ريحتك ما شم 
لا شم السيكلاما .. لا طابونة من المرشي  سخونة في ساك مرا

ريحة البحر و إلي هجر، الشجر و إلي نكر 
ريحة البخور وين ادور تشمها حتى كي تشق البحور 

فيك سقايا تهزني .. من غير ما نعرف ال وين .. إدزني

نقعد في قهوة 
            نغزر ال كاياسك ، نكحل على بناتك

ندخل ل السينما
            الفيلم؟ بورنو.. سرية ولا علنية : هذيكا عادتك 

إعيطلي بحرك 
    نكركر صاحبتي من يدها نشهد رملك على عشقها، نبوسها، نحملها ، وعلى صقالتك نمدها ...

وما نحشمش !
كي بسرك نبوح ... بيك نتفضح كي ريحتك مني تفوح ...

و اشموا عليا

مسك الليل  و ساعات ريحة الكليل 
الحشيشة والشيشة و أوقات مر العيشة

الفريكاسي و لبلابي السهرية ونهارات ريحة القحاب من غير رخصة البلدية




ينساني الوقت فيك 
بين 'الكازينو'  و 'الشالي فار'  يا حسرة على 'لا سيران'   
نحير فيك







فيك 
على البحر نسكر و في الجبل نسكر 

فيك 
بحذا جاري كل ليلة نسهر 
و كي يذن الفجر .. نهجر 









ارجعني شارع صلامبو 
حومة الصابون ... قدااه توحشتو ك البركون

توحشت سبان رياض البوراس ... و غزرت بوقرنين

نغير من عصفور الزيتون كي بين نخلك ادور

يطلع عليك الصباح ... بريحتك فاح 
ما دام فيك راهو رباح 

همهاما ! عمري ما سكنتك ...
إنت إلي سكنتني

 


...Parce qu'elle est plus belle que Paris et la Géorgie réunis 



A méditer...

Non, je ne me suis encore pas mise à la photographie, mais j'ai le sens du partage, je passe par ces deux graffitis et...














Bref je m'abstiens de commenter ...


( INFO:Le samedi 09 Octobre et le dimanche 10 Octobre 2010, Mad’Art Carthage organise « Les journées de graffiti»... )



samedi

Aquae Persianae




C’est toi … ??


Tes maîtresses ne m’ont pourtant jamais dérangée,
Tes amants non plus.

pourtant c'est toi

Serais je sotte par ce désir…

J’évoque les détails de ton corps jusqu'à sentir tes soupires
Je me parfume de cyclamen pour te conquérir
Je dors nue, je m’offre à mon lit pour te voire me revenir,
Brûlé par les flammes de jalousie que j’ai déclenché dans ta foret

Gamine tu m’as connue,
Gamine je me faisais.

Ton enfant je suis,
…Femme je suis.

ADieu les tresses…Amoi la dentelle…

Viens
Les graines que t’as semé sur ma poitrine ont mûris.
Viens
Avant qu’elles ne tombent avant qu’elles ne pourrissent.
Viens
Tant que la terre est encore ferme.
Viens,
Plantes y une germe qu’elle fleurisse.



Je fuis l’odeur fétide de la nuit suivant un parfum de sueur masculine aromatisée
Je tue le sommeil qui m’agresse toute les nuit par des baisers froids
par des caresses animaliers.

Je te cherche dans les maisons de joie où tu passais tes nuits.
Dans un coin du chalet vert ou on t’entendais chanter,
Sur la ‘s9ala’ les nuits d’hiver ou tu pleurais,




Le matin j’oublierai ma démence, ma dépendance…
Après l’heure je me réveillerai
Gorge sèche faute de nudité
Yeux gonflés et cernés faute d’insomnie

Le matin tu te lèveras avant l’heure avec la mosquée et les chats de tes rues
Un jet d’eau sur tes yeux
Sur les feuilles de persil au marché
Sur les roses, que tu ne m’offriras pas, du fleuriste devant la municipalité
Sur le corps sordide d’un vieux au 7ammem a l’eau thermale

A 7h 30 on se voit comme chaque matin

Tu fumes nerveusement ta première cigarette…..
La fumée couvre ta gare

Je passe sans m’arrêter…

Les montagnes ne doivent pas se rencontrer

En toi Boukornine
En moi le mont orgueil



Oui c’est bien toi le seul que j’ai aimé




Merci HAMHAMA pour l’inspiration et pour les photos

jeudi

ode à la memoire (outro)


Qu'est ce qui m'a poussé à écrire ce soir alors que le stylo m'avait laissé depuis quelques mois?
La pétale ou le tabac?

C'était une envie…
Une envie d'amour, une envie d'art.

Ce n'est pas toi qui m’as dis un jour que l'art et le désir avaient les mêmes délires, la même soif, les mêmes tentations,
lorsque le stylo me désobéissait tu venais me chuchoter. En passant tes lèvres sur mon cou sans baisers mais avec une respiration coupée chaude qui me donnait quelques frissons, tu étais proche assez proche pour te sentir, te respirer, assez prés pour m'enflammer sans me toucher.

Tu disais que ma feuille doit me troubler, que je devais l'aimer lorsqu'elle est encore vierge, et après.
Elle devrait me séduire je ne devais écrire que par envie.

Et tu rajoutais c'est la dynamique de l'univers même à la guerre on ne tue et on ne massacre que par envie, la passion de conquérir.

C'était ta philosophie atypique… c'était elle qui m'a conduite à ton abîme.

Et je retourne à mes feuilles mortes, au coup de foudre, au premier coup d'œil,
dans ce bar dans la montagne enchantée d'une ville vénérée.
En une heure j'avais vue en toi la rage, le plaisir, l'attachement puis l'empêchement, l'angoisse et le soulagement, tu ne me remarquais pas. Tu me voyais, sans que ton regard s'arrête à ma vue, sans me regarder.
Il avait pris ton regard, tes mains, tes passions, tu n'aimais que lui, tu ne haïssais que lui, tu passais tes mais avec tendresse des fois et avec violence d'autres, le luth était mon rivale.

Je ne savais comment prendre sa place, un jour j'ai cru avoir gagnée…

C’est lui qui t’a pris ou un autre lit ou ta philosophie qui ne tient plus debout avec ma présence ?

Je n'aurais pas du défier ton oud ce soir, il m'avait menacée sur ma propre montagne celle qui m'avait béni depuis ma tendre enfance, dans ma ville qui me ressemblait par ses défis, son narcissisme, son extravagance cette ville de rêves stockés dans les archives de mémoires et d'autres archives de banques en attente d'un crédit.

Ville des révoltes en mode silencieux.
Ville qui conte plus d' S.D.F, fous et alcooliques piégés entre mer et montagne que de personnes 'normales'.

Ont l'avait laissé cette ville, j'avais laissé ma mémoire, j'avais laissé le levé et le couché de soleil, les ruelles, les petites et grandes maisons, les vendeurs de 'zatla' et les rêveurs de '7ar9a'.
Pour habiter une autre, à la recherche d'une autre vue ou vie… Je ne me rappelle plus bien de tes mots, ils importaient peu ce jour, j'étais heureuse d'être a tes cotée, je n'est même pas fait mes adieux à la ville qui m'a vue grandir je l'ai laissé comme tu m'as laissé…
J'ai honte de revenir aujourd'hui c'est une ville rancunière elle ne m’accueillerai pas elle ne m'accepterai pas …

Ne reviens pas…

lundi

Un soir , un quai , une ville


C'est une note qui a vu le jour 3al-7it ,un de mes blogs préférés ,bêtement censuré.
Je 'republie' cette note en sa mémoire, et pour son 'esprit' qui habite la ta9tou9a.





Les derniers oiseaux regagnaient leurs nids sur les palmiers d'Hammamlif.



La querelle du bleu et du noir était longue . le sang coulait à flot il avait beau résister le bleu est, comme la veille, vaincu.


Le premier train est passé, le second et le troisième aussi sont passé.
Assise sur le quai, mes pieds refusaient de me porter, quelques voyous sont venus m’escorter, j’ai pris l’habitude de les côtoyer, je ne suis pas une banlieusarde pour rien.
Je les fixais dans les yeux un a un. Je les bombardais avec mon regard.




Le ciel orné par une pleine lune, avait une couleur pulpe qui virevoltai au noir.
Toutes les couleurs se sont inclinaient devant le noir, comme les vauriens se sont sauvés devant mon regard.






Bientôt le téléphone m’annoncerait que ma mère est soucieuse, elle a le caractère d’une mère omniprésente comme toute les mères.
J’ai oublié de lui téléphoner ou j'étais trop occuper à admirer le ciel, ou je me suis oublié.
Peu importe dans touts les cas je lui mentirai, j’ai le caractère d’être une indocile comme toute les fille d’une mère comme la mienne, je l’aime.






Mille pensées désordonnées dans ma tête et mille autres sur mon bloc-notes . une gouttelette d’eau tombait sur ma main elle était trop salé pour être une goutte de pluie


C’était une larme que mes yeux ont exclue, une larme sans importance qu’elle soit versée pour le nourrisson assassiné hier à Palestine ou pour l’examen d’algèbre que j’ai raté le même jour ou pour la torture que me fait subir mes tallons aiguilles quelle importance mes yeux se sont habitués à les verser, mes mains se sont habitué a les sécher ou à les ignorer : me déplorer est la preuve de mon identité.


Enfin mes pieds ont décidé de quitter la gare, je descends le tunnel, sur ma route deux déments et un S.D.F, ils voulaient quelques sous, je ne suis qu'une étudiante je n’ai pas de sous, mais j’ai une petite faim, un sandwich escalope chez ‘Lotfi’ a 4 dinars ferait l’affaire même si mon dîner attend au chaud chez moi, je peu me le permettre. L’S.D.F n’a qu’aller fouiller les poubelles, ici on a un grand cœur, on pense aux autres en jettent les ordures ……

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