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dimanche

just say yes




  Un  rêve m’emporte au delà du vacarme, 

L’heure était celle du couché, timide, rougeâtre qui s’excusait pour l ‘obscurité qu’elle annonçait.

Sa beauté et ses couleurs dégradées, le ciel en faisait une ruse pour masquer les tours de la nuit.

Un visage pale sans maquillage, reflet sur une glace, âme de glace.
Les lampes de l’avenue s’illuminent une a une, et mes fesses encore cloués à la chaise devant un café glacé.

Humeur  en trouble a cause d’un amour en double, et puis l‘ennuis de l’humour bas de gamme en boucle.

Oui c’est a force de trainer qu’on devient une trainée.

Et je pense à la nuit, comme elle serait longue en espérant  qu’il soit là juste pour cette nuit.

Oui la nuit serai longue,

longue seulement quand on ne dort pas, qu’on ne fait rien, quand on ne rêve pas et ne baise pas.

Le film de sa vie se déroule pour chercher le sens comme s’il devait y avoir un sens.. et si le sens était le bonheur celui des panneaux publicitaires, ou sortit tout droit d’Hollywood.. 

Oui qu’on doit être con pour supporter la connerie.

Le dernier train va passer, je dois rentrer à mon engrenage et tourner.

Il a dit vrai Mr K : ne cherches pas de sens ne cherches pas et ne perds pas ton temps, ils ont mentis, il n’y a que vanité ici bas.

Oui les civilisations ont été crée au profit du bonheur.

jeudi

Ahan


Sous la pluie seule se plie sans veste sans parapluie ses pieds poursuivaient  elle gouttait les gouttelettes petites goguettes par ses lèvres guettées sur son corps guillotinées une personne se précipitait aux premières précipitations une autre passait au mode parapluie elle s’en moquait de leurs peur de la pureté je reviens à moi cheveux trempés  yeux ‘trans-paix’  cœurs trompé  pieds à la Kassbah âme à Benghazi je reviens à MOI une semaine ou deux peut être un mois ou deux que je sèche les cours le cœur le corps puis le concours  ‘con-cœur’ je cours  je sais d’avance que je ne retrouverai plus ma cadence reviens à toi moi je veux un café à l’avenue attendre un revenue mais déserté sont les cafés devenue les rues se reposent des manifestants aucune réclamation la pluie retarde les causes je trouve un petit coin petit livre avec moi et le café que je bois je me reviens enfin et j’ai j’ai peur de m’entendre d’avec moi m’entreprendre d’oublier le monde de tenir sur mon cou la corde j’ai peur de ma rime quand mes mots s’expriment j’ai peur d’oublier la ponctuation les suspensions j’ai envie de ne plus parler envie d’une présence humaine à regarder qui empêcherai mes mots d’êtres prononcés… je veux me reposer…

dimanche

café


Café tes yeux
Café ta peau
Ta voix café elle seule peut me réveiller
Ton odeur café m’emplisse de désir d’y goûter
Chaud me brûle les lèvres le café ton baiser
Tes mots amer sans sucre est mon café
Je bois une grande gorgée Je le laisse sur le comptoir me suppliant de boire une autre
Je refuse le souffle de la tasse me fait obéir

Je bois je bois sans le finir

Une promesse secrète de revenir un rendez-vous

Café que je ne bois pas pour rattraper le train mais le train ne passera pas

Café autour d’un jeu de belote avec les chômeurs diplômés sans parler

Dans le café du cartier

S’est refroidis ton café

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