lundi

'Fin décembre'..en mi septembre.





J’en ai entendu parlé sur RTCI, je me suis dis ça devrai être un bon plan pour un samedi après midi …

Avant d’y aller j’ai découvert que le cinéma n’est pas vraiment la ou on veux être… La preuve j’ai lancé une invitation sur FB sur mes 190 amis il n’y avait pas de réponse (sauf si c’est moi la cause et non pas le cinéma :p)



Bref j’ai réussi à convaincre quelques copines pour m’accompagner (après insistance et une promesse de payer les sandwiches que je n’ai pas tenue).

Au guichet pas de tarif étudiant, à 4 dinars le ticket encourageons la production tunisienne…
La salle était presque pleine, il faut mentionner que les medias ont bien servie Moez kammoun (réalisateur du film)… La sortie d’un film tunisien, puisque rare, est devenue un vrai événement médiatique.

Début de la projection, chuchotements, chips, pop corn,…vous connaissez la scène qui se répète dans toutes les salles ou presque, suivis des ‘chut chuuuut..’ j’avoue que j’aime cette ambiance et ‘allah la ta9t3elna 3ada’.

104 mn ‘de forja’

Et à la sortie du film, j’avais un sentiment de confusion, face a l’incontournable ‘ça t’as plus ?’ (Le film pas Dhafer El Abidine) Je ne savais pas comment répondre…

Le film était agréable à voir, un beau casting avec Hend Fahem Dhafer El Abidine et Lotfi Abdelli en tête d’affiche, et Jamal Madani, Dalila Meftahi, Lotfi Bondka et mon coup de cœur la plus jeune Donia Saadi.

Des vies basculées, des destins croisées, presque sans les habituelles scènes de cries et de long silences inutiles (qu’on s’est habitué de voir dans les films tunisien), un zeste d’humour, de magnifiques scènes d’amour entre la caméra, Takrouna et les notes de Riadh Fehri (La musique que vous êtes entrain d’écouter ;)) et aicha qui nous donne terriblement envie de fumer une cigarette dans la salle de l’Africa non fumeur , c’est peut être un détail mais ça a causé un crêpage de chignon : 5 minutes de ‘fumez dehors !... mêles toi de tes affaires .. Elle, elle fume et moi non !? oO…’

Mais malheureusement’ la fin de décembre’ est passée sans histoire a raconter…
Le sujet de la femme rebelle, la virginité, le ‘rif’ réchauffé et resservie.
J’avais l’impression de manger du ‘lablebi’ cuit dans une cocotte avec kammoun mais sans hrissa (c’est vraiment la sensation que j’avais même si la comparaison n’est pas très explicative).

Vous pourrez voir le film à Alhambra,L'Africart et Amilcar en attendant le piratage :p.

Un avant gout du film :)









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