jeudi

il était .. un marin.






Elle s’est allumé une cigarette pour rompre avec l’obscurité et voir l’ombre de sa silhouette.

Une cigarette… une amie à la vertu de se bruler et revenir, cœur net  pour se faire encore écraser,    vengeuse secrète.

Elle traine sur mes lèvres, je m’allume en passant sur le bout de ta fièvre.
En cigarette d’une nuit je me consume en fumée, consommée et fondus en glace, la femme en flamme part en transe.
...

A7 !
Je me suis brulé, putain de clope. 

 
Tient, il n’y a pas que toi qui se gène de la lumière, cette nuit  aussi s’est gêné de sa pleine lune, l’a caché d’un burquaa de nuage en écume…

… toi, le reflet protégé sur le miroir parallèlement au futur, une image qu’on ne peut définir et un noyau de désir.
Telle la lune virtuelle vibrante sur la mer… 

la mer... elle n’est plus la mère , même elle pour toi a ce gout amer…

Il aurait fallu qu'a la mer sans attaches je m'attache pour qu'elle me vole mon marin sans que sur elle je m'acharne!

Il aurait fallu que tu sois béni par l'oubli et que je soit maudite par mes souvenirs.
Loin d’être narcisse, ne céderais-tu jamais au désir, jusqu'à fondre en toi, jusqu'à te consumer.

Si seulement tu n’avais pas peur , peur de quoi, de qui ?
L’état que t’as connus n’est plus état.. Plus personne pour surveiller, même plus l’ombre d’une vive conscience par ici. Ne reste il que des non fait/dit…

Rien ne vas avec le temps, ca tourne seulement en rond, rien ne change que le ton…

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