J’aurais pu être religieuse.
Sentir la beauté du divin et ses prouesses.
N’aimer qu’un seul que je ne peu toucher.. Sans le voir ne penser qu’a lui,
Qu’on dehors de lui ça serai de la tromperie.
J’aurai pu être croyante, jouissante de la privation,
Fière de ma religion.
J’aurai pu admettre qu’après ma mort j’aurai une terre où coule les rivières.
Un sofa où on me servira du vin, que je voudrai sans que dans ma vie je l’ai goûté.
J’aurai pu accepter de mentir sur la satisfaction que m’offre mon mari.
De partager ce mensonge avec trois autres,
Pour le retrouver au paradis, le partager avec 73 fées.
J’aurais pu être musulmane, garder mes formes pour mon miroir.
Epargner au vieux barbu, qui matte mes fesse, un ‘dhanb’ impardonnable.
J’aurais pu …
J’aurais pu être irréligieuse.
Sentir le désir d’un amant et ses prouesses.
Partager mon amour, ma vie,
Sans ordres que celles que me dicte mon esprit.
J’aurai pu être non croyante, jouissante du plaisir d’une nuit,
Boire, chanter et danser.
J’aurai pu admettre qu’après ma mort rien ne se passerait,
M’épargnant le cauchemar de brûler, d’être par mes sils attachée.
J’aurai pu accepter la futilité de mon existence.
Une vie d’insouciance,
Dans l’absence d’une sécurité extérieure, d’une bienveillance surnaturelle.
J’aurais pu être non musulmane, ignorante les livres sacrés,
Les histoires enchaînés des prophètes.
J’aurais pu …
Je suis…
Je suis religieuse par héritage,
Irréligieuse par paresse.
Je suis croyante par habitude,
Non croyante par lassitude.
Je suis musulmane par abus de longuage,
Non musulmane par la force de l’age.
Je suis.
Sentir la beauté du divin et ses prouesses.
N’aimer qu’un seul que je ne peu toucher.. Sans le voir ne penser qu’a lui,
Qu’on dehors de lui ça serai de la tromperie.
J’aurai pu être croyante, jouissante de la privation,
Fière de ma religion.
J’aurai pu admettre qu’après ma mort j’aurai une terre où coule les rivières.
Un sofa où on me servira du vin, que je voudrai sans que dans ma vie je l’ai goûté.
J’aurai pu accepter de mentir sur la satisfaction que m’offre mon mari.
De partager ce mensonge avec trois autres,
Pour le retrouver au paradis, le partager avec 73 fées.
J’aurais pu être musulmane, garder mes formes pour mon miroir.
Epargner au vieux barbu, qui matte mes fesse, un ‘dhanb’ impardonnable.
J’aurais pu …
J’aurais pu être irréligieuse.
Sentir le désir d’un amant et ses prouesses.
Partager mon amour, ma vie,
Sans ordres que celles que me dicte mon esprit.
J’aurai pu être non croyante, jouissante du plaisir d’une nuit,
Boire, chanter et danser.
J’aurai pu admettre qu’après ma mort rien ne se passerait,
M’épargnant le cauchemar de brûler, d’être par mes sils attachée.
J’aurai pu accepter la futilité de mon existence.
Une vie d’insouciance,
Dans l’absence d’une sécurité extérieure, d’une bienveillance surnaturelle.
J’aurais pu être non musulmane, ignorante les livres sacrés,
Les histoires enchaînés des prophètes.
J’aurais pu …
Je suis…
Je suis religieuse par héritage,
Irréligieuse par paresse.
Je suis croyante par habitude,
Non croyante par lassitude.
Je suis musulmane par abus de longuage,
Non musulmane par la force de l’age.
Je suis.
Bravo !!!!! sublime :D
RépondreSupprimerMerci, et mar7bé bik :D
RépondreSupprimerj'ai adoré fléna, sur ce coup BRAVO rien à ajouter ..
RépondreSupprimertrès joli poème ! :)
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